feeling [a day : a paint] 17 juillet
(...)
C'était le noir qui me prenait. Qui m'envole encore.
Sous sa cape sombre. Sa brume ténébreuse.
Je le prenais dans mon cœur comme un amoureux.
Plongeant vers la toile comme une seconde vie.
Mélangeant ma face sur le bord du puit.
C'était le soir qui me prenait. Ravivant les grincements stridents.
Griffée de ta joie et de ton empressement.
Perlant à mon front ma propre disgrâce.
Ta disparition comme un envoûtement.
Ruisselant de toute part, tant de souvenir.
Petites tornades. Envahissante.
J'épanchais mon oublie dans folle soirée.
Je croyais ma vie enfin résolument Libre...
Elle n'était que peuplée d'un pâle brouillard.
D'un éblouissement passagé.
Sous sa cape sombre. Sa brume ténébreuse.
Je le prenais dans mon cœur comme un amoureux.
Plongeant vers la toile comme une seconde vie.
Mélangeant ma face sur le bord du puit.
C'était le soir qui me prenait. Ravivant les grincements stridents.
Griffée de ta joie et de ton empressement.
Perlant à mon front ma propre disgrâce.
Ta disparition comme un envoûtement.
Ruisselant de toute part, tant de souvenir.
Petites tornades. Envahissante.
J'épanchais mon oublie dans folle soirée.
Je croyais ma vie enfin résolument Libre...
Elle n'était que peuplée d'un pâle brouillard.
D'un éblouissement passagé.
o
0 petits mots